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    Printemps Amazigh, les enfants d’immigrés à la découverte de leur culture à NiceLa récente commémoration du double anniversaire du printemps Amazigh et noir (1980 et 2001), par l’association culturelle et sportive kabyles (ACSKN), à Nice (sud-est de France) a beaucoup plus profité aux enfants d’immigrés. Curieux, ces derniers ont trouvé l’occasion d’interroger sur l’historie des origines de leurs parents.

     

    En effet, c’est dans la salle « Linné » du parc Phoenix (botanique et zoologique) situé sur la fameuse Promenade des anglais qu’a eu lieu la cérémonie. L’atmosphère était très conviviale. L’arrivée des invités a débuté aux environs de 14h. Les membres de l’ACSKN avaient déjà installé une exposition retraçant l’historie et la chronologie du printemps Berbère. L'occasion pour les enfants nés en France de poser leurs questions sur leurs origines. Inès, âgée de 10 ans, ne cessait pas d’interroger son père qui est en France depuis plus de 10 ans. « Je ne connais rien sur l’historie des Amazigh et je ne parle pas kabyle », a-t-elle avouée avant et d'ajouter : « oui ça m’intéresse de connaître les origines de mon père et je souhaite parler kabyle couramment mais il n’y a pas d’écoles pour apprendre la langue».

    D’autres ressortissants sont venus en familles. Ils étaient contents et échangeaient des discussions sur les origines kabyles. « Moi aussi je ne parle pas kabyle », déclare Sonia, une jeune française d’origine de Tizi Ouezou. « Je connais un peu l’histoire des Amazigh, notamment ceux du nord africain, et leur sort face à la dictature et l’arabisation. Ça m’a fait plaisir d’assister à cet événement culturel qui m’a permis de découvrir la culture et l’histoire des Amazigh », rajoute-elle.

    Les échanges culturels se sont fait dans une ambiance remarquablement familiale au tour d’un buffet à volonté qui a été mis à leur disposition.  Des crêpes, des gâteaux, pain aux poivrons et d’autres variétés kabyles pour rappeler les traditions.

    Devoir de commémorer l’événement

    La communauté Kabyle a ensuite été invitée, aux environs de 17h, à rejoindre la salle de conférence du parc Phoenix pour une projection vidéo d’un film documentaire sur les événements du printemps berbère et noir. Dans une brève allocution, le responsable du pole culturel de l’association M. Ikarioune Lyes, a tenu à apostropher que « c’est de notre devoir de commémorer ces événements dans le but de rendre hommage aux martyrs et soutenir leurs familles et surtout transmettre notre histoire aux futurs générations ».

    La projection a été suivie d’une conférence-débat ayant pour thème « La révolte kabyle, retour sur la tragédie ». Animée par Ferhat Mheni, actuel président GPK et Mohend Taferka.

     

    Mounir Outemzabt 

    Printemps Amazigh, les enfants d’immigrés à la découverte de leur culture à Nice

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  • Urgent : Bouteflika décédé ?A en croire, le président de la république M. Abdelaziz Bouteflika, serait décédé à l'age de 79 ans dans la matinée du 20 avril, suite à un malaise survenu il y a deux jours.

    Cette triste nouvelle, rapportée par plusieurs médias dont le site d'information arabophone Bledna.com a secoué le pays. Elle ne peut malheureusement être vérifiée pour l'instant du moment que l'Etat Algérien ne dévoile aucune information concernant le président Bouteflika. 

    L'état de santé de celui-ci était visiblement détériorée. Dans sa dernière sortie médiatique, lors de la visite du premier ministre français Manuel Valls, le président de la république était très fatigué. D'après la même source, il aurait pris à malaise la veille. 

    "Cela étant dit, plusieurs médias algériens parlent d'une mort clinique de Bouteflika. Le clan de lui-ci se prépare et prépare les dispositions nécessaires pour annoncer de la mort officielle du Président Bouteflika", rapporte la même source. 

    Abdelaziz Bouteflika est né le 2 mars 1937 à Oujda. Il est le 5ᵉ président de la République algérienne démocratique et populaire depuis le 27 avril 1999. 

    L.E.

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  • Habiba Draoui, handicapée moteur crie à l'aide depuis Lâalam  De l'autre coté du chef lieu de la wilaya de Béjaia, à 65 km à l'extrême Est, dans la localité de Laâlam commune de Tamridjet, Habiba Draoui (29 ans) lance son cri de détresse.

     

    Habiba est handicapée moteur à 100%, depuis peu de temps. Elle a glissé d'un prunier au moment ou elle aidait ses parents à récolter les fruits. Le coup dur qu’elle a subi lui a causé une fracture au niveau de la colonne vertébrale. Hospitalisée en urgence, elle a effectué une intervention chirurgicale au CHU de Tizi Ouezou. Les résultats étaient négatifs mais les chances ne le sont pas.

    « Je ne me souviens pas comment je suis tombé. Je me suis retrouvée à l’hôpital. Je me suis fait opérer à Tizi Ouezou et j'ai même effectué des séances de rééducation à Tiksraine (Alger) mais sans aucune chance que je me relève. Je vis l'enfer. J'ai beaucoup souffert dans ma vie. Ce n'était pas le moment, vraiment », déclare t-elle déprimée sur la chaîne Dzair-tv, ou elle a été entendu et ses parents.

    Elle a déclaré avoir des chances de marcher à nouveau en effectuant une deuxième opération chirurgicale en Chine. Mais le problème rencontré est souvent le même pour tous les algériens : les moyens financiers. Le coût de l’invention est estimé à un milliard de centimes. Une somme que la famille ne possède pas.

    De parents, modestes et visiblement avancés dans l'âge, la jeune femme a perdu ses espoirs de se faire soigner et de marcher à nouveau.

    Habiba garde encore un peu d’espoir et lance son appel de détresse aux autorités compétentes de lui offrir cette chance d'aller se faire soigner en Chine. 

    La localité de Laâlam est située sur les hauteurs de la Daira de Souk El Tenine, zone montagneuse connue par sa forte activité en agriculture. La vie est rude pour les habitants en l’absence de commandités indispensables. L’exode a connu une forte augmentation notamment à partir de 2006, date ou un séisme a secoué le bourg. 

    Mounir Outemzabt

    (Le Matin)

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  • Un gala "de charité" pour aider le jeune Mohamed Amine Khelil,de Béjaia, victime d'une erreur médicale sera organisé ce vendredi 15 avril, à 14 h 30, au Théâtre régional de la ville de Béjaïa, apprend-on de sources locales. 

    "Un don peut rétablir une vie", tel est le slogan de cette activité culturelle qu'a lancé l'association sociale "Naw El Khayr" (ASNEK) dans la wilaya de Béjaia.

    Le TRB ouvrira ses portes pour abriter cette fois-ci un événement musical qui viendra en aide au jeune " Mohamed Amine qui souffre d'une prothèse de hanche. Il a besoin d'une intervention chirurgicale urgente en France. N'ayant pas les moyens d'assurer les frais médicaux, des âmes charitables ont procédé à l'organisation de ce festival de musique en vue de réunir une petite cagnotte de dinars qui sera converti en euros, mais combien ?

    L'Etat est souvent le dernier à découvrir que ces enfants souffrent en silence. Ce n'est pas la première victime qui subisse le même sort. La récente grande solidarité avec le jeune Adlène a tremblé les cœurs de toute âme charitable. Ce n'est qu'au dernier moment que le ministère de la santé est intervenu pour prendre en charge ses soins et son déplacement.

    Les organisateurs sollicitent toutes âmes charitables à venir en aide à ce jeune qui ne demande que d'être à nouveau parmi nous dans son quartier. Soyons nombreux et nombreuses !

    O.M.

    Béjaia : Un gala artistique de solidarité avec un jeune malade

     

     

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  • Melbou a été habité il y a plus de 16 mille ans avant Jésus Christ (JC). Les ruines découvertes dans la grotte servant d’un abri sous roche, -creusé à même la falaise surplombant l’actuelle route nationale 43, reliant Béjaïa à Jijel-, pour l’homme d’Aflou Bourmel en sont la preuve    

    L’histoire de la découverte de cette fameuse grotte qui n’a pas encore dévoilé ses secrets au public, remonte aux années 1927. Les premières recherches effectuées par le professeur Slimane Hachi, actuel directeur général du Centre national de recherches préhistoriques et anthropologiques (CNRPA), ont menées à la découverte d'ossements humanoïdes.

    Des années après, entre 1982 et 1983, ce chercheur est revenu avec une équipe de CRAPE qu’il a dirigé lui-même et a poursuivi ses recherches. Plusieurs outils en pierres taillées, de très vielles statues d’animaux fabriquées en argile, des ossements et des restes de près de 70 individus dont le squelette d'un homme âgé de près 16 000 ans avant JC, -l'homme d'Afalou Burmel, issu de la famille des Mechtoides y ont été retrouvé.

    Le professeur préfère parler de cimetière. On y enterrait des hommes, femmes et enfants tous ensemble. «Nous avons découvert les restes de soixante-dix individus enterrés dans la grotte Afalou. Nous avons recherché le premier d’entre eux qui a été enterré à l'intérieur et nous l’avons reconstitué avec ses outils et ses ornements. C'est un individu emblématique. C’est sa dépouille qui a sacralisé l’endroit. C’est l’une des plus anciennes nécropoles au monde et c’est certainement la plus ancienne en Afrique. Il y en a d’autres en Afrique du Nord. À Tiaret, à Taza,… etc.», fait savoir le chercheur.

    C'est la plus importante découverte donc. Celle du squelette d’Afalou Bourmel qui a été transféré hors pays pour des études. Il est issu de la famille des Mechtoides ou Mechta et leur culture remonte à plus de 20 000 ans. De grande taille, le crâne allongé et le visage rond, il prend forme d’une espèce humaine en pleine évolution issus de la culture préhistorique dite « Iberomaurissienne ».

    D’après l’écrivain Georges Poisson, dans son ouvrage intitulé « L’Antique devant a science : étude de préhistoire », on pourrait le rapprocher de la famille de Cro-Magnon Europe. Par rapport à son successeur le Caspien on le trouve assez primitif. Mais, il avait une capacité crânienne de 1650 cm3.

    Pour connaître un peu l’histoire de l’homme d’Aflou, il va falloir se documenter. Les gens de chez nous n’en trouve guère de documentations sur ce. Hormis les conférences et les colloques de M. Hachi organisés ici et là et les articles déjà rédigés, aucune autre information n’est donnée à nos jeunes. Pourtant le professeur a édité, en 2003, un ouvrage de 173 pages, réservé entièrement à ses recherches effectuées à Melbou (Béjaia). 

    Le professeur était jeune lorsqu’il a commencé ces recherches à Melbou. D’ailleurs, en 1982, elle n’était pas une commune indépendante, c’était la commune de Souk El Tenine. Auourd’hui, ses travaux ont fait de lui un homme célèbre. Il est directeur général du CNRPA (centre national de recherches préhistoriques et anthropologiques). Il est auteur de « L’Ibéromaurusien, nouvelles découvertes, actes du colloque international de Maghnia, 1989 ».

     

    Un travail de collecte d’informations lancé

    Afin d’assurer une documentation riche en informations, le Pr Slimane Hachi a fait savoir, lors de sa conférence organisée à Béjaia, que le ministère de la culture a mis en place une banque de données du patrimoine culturel national immatériel. Elle sera alimentée par les chercheurs du CNRPAH et le réseau de chercheurs et d’universitaires qui seront chargés d’assurer le suivi de la collecte d’informations, leur mise en forme et leur validation scientifique.

    Ainsi, la priorité est donnée à la conception d’un annuaire des chercheurs anthropologues travaillant dans ce domaine. Pour se faire, M. Hachi a assuré que l’équipe déjà existante sera développée et renforcée par d’autres chercheurs. Des enquêteurs de terrain seront aussi formés dans ce sens.

    Le travail ne sera pas trop difficile puisqu’il existe déjà un savoir à exploiter disponible au centre et dans les universités. Ce savoir est composé, entre autres, d’ouvrages, d’articles, d’enregistrements audio et vidéo, de documents et de thèses.

    Mounir Outemzabt.

    L’homme d’Afalu Burmel, le site historique le plus important

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    Une récente actualité vous a conduit dans nos parages. Une escale de plus dans un monde chamboulé par mille et une péripéties. Cette dernière escale, pourtant, avait une saveur exotique particulière : la visite des camps sahraouis. En sus, un « Azul ! » sorti d’entre vos babines à Alger a soulevé un élan de béatitude au sein d’un peuple dont la langue est longtemps ostracisée. Il est vrai que nos gouvernants ont pour fâcheuse habitude de montrer à leurs hôtes tout ce qui pourrait flatter leur propre orgueil et ripoliner leur image.

    Aussi, ne vous est-il pas échappé que notre pays traverse une période critique ; le délitement moral est paroxysmal ; nos finances mal dépensés ont glissé brutalement comme un homme sur une peau de banane. Et vous l’auriez remarqué : l’Etat algérien soutient mordicus nombre de causes, souvent justes, la question palestinienne et celle du peuple sahraoui figurent en tête de gondole. L’Etat algérien est aussi trompeur qu’un mirage au Sahara. Triste hélas est le constat des Droits de l’homme en notre pays. Non par manque d’adhésion et de déclamations, mais par la forte sécheresse d’actes effectifs qui rend nos saisons emplies de désenchantement.

    On vous a déroulé le tapis rouge pour vous mettre dans l’ambiance des meilleurs des mondes, mais vous convenez que « la diplomatie est aussi un art dans lequel excellent les hypocrites » et le tralala des potentats n’est que monnaie apocryphe comme la saleté agressive de nos paysages qui fait horreur et plonge nos narines dans l’insoutenable.

    Bien que la dernière Constitution soit tricotée pour être à la mesure des vœux et caprices de nos gouvernants, elle est par ailleurs truffée de passages aberrant comme des trompe-l’œil. La liberté de conscience constitue ce paradigme sans lequel ni la fraternité ni l’unité ne peuvent voir le jour, encore moins une vie sereine et savoureuse ne peut être goûtée.

    En fait, la liberté de conscience n’est qu’un masque. Et la Justice, parlons-en ! Saluée comme la colonne vertébrale de toute nation, elle demeure dans notre pays comme un canard boiteux où un juge n’a guère de force pour convoquer un haut dignitaire devant le prétoire.

    Les femmes ne sont pas en bonne posture, non plus. Elles ploient sous le poids de traditions pour le moins iniques et d’un arsenal juridique guère avantageux et loin de répondre savamment aux exigences d’une vie digne et épanouie. Ceci dit, le grand drame est que les femmes sont ballottées entre la résignation, l’ignorance de leurs droits et une violence machiste immonde.

    Il est cardinal de préciser que cette fitna est soutenue par une école aux abois et des homélies dans les mosquées livrées à d’irréductibles salafistes avec lesquels aucune discussion n’est possible. Pas même par le canal de la spiritualité qu’ils revendiquent sur chaque toit ! Ah, nos maux sont nombreux ! Et chaque question constitue tout un programme à prendre en charge, loin des élucubrations infra-intellectuelles. Exit le chômage, les brimades policières, les libertés syndicales bafouées. Même le suffrage universel est rangé au rang de chimère. D’ailleurs, voyez-vous, les Algériens forment de longs contingents de candidats à l’émigration auxquels nous souhaitons bon vent ! Et cependant, nous autres qui restons cramponnés à cette terre dans l’espoir d’une hypothétique vie décente, méritons un sincère soutien et un chaleureux encouragement. Sauvegarder la flore, la faune et le patrimoine matériel et immatériel est urgent. Comme des espèces en voie de disparition ! Votre « Azul ! » a certainement chatouillé l’oreille de votre auditoire, il ne faut guère en douter. Azul ! est le salut emblématique puisé d’une langue millénaire, l’une des plus vieilles au monde : tamazight, dont l’odyssée résume toute la tragédie de toute l’Afrique du nord et comme mémoire narcissique blessée. Il fut un temps où l’évocation de tamazight signifiait la manifestation du diable ! Il fut un temps où tous les ayatollah dont disposait l’Algérie giclaient des saillies pleines d’effroi, d’une haine moribonde, envers cette langue à la beauté intemporelle qui nourrit une éternelle identité.

    Là-bas, où vous siégez, en haut du perchoir de l’Assemblée des Nations-Unis, nombreuses chartes sont prescrites pour la sauvegarde et la promotion des langues. Hélas ! notre tamazight n’y est pas utilisée. Excusez-moi de vous rappeler que cette langue a connu son enfance avec le copte et le punique, son adolescence avec le romain, le grec et l’arabe. Elle a faillit disparaitre lorsque nos gouverneurs ont décidé d’élaguer le patrimoine de l’Afrique du nord dans un esprit pour le moins sectaire. Cependant, tamazight, tel un chat, aura connu sept vies et traversé de multiple fleuves et autant d’épreuves.

     Actuellement, sept langues sont considérées comme officielles au sein de l’organisation onusienne que vous dirigez. Cette cohabitation est une fière texture du génie des hommes dont le seul grief à soulever est cette triste propension qu’ont les hommes à envoyer les langues en bisbilles comme des amazones qui prolongent leurs gourmandises. D’où l’escalade de cette guerre des langues !

     Y a-t-il meilleure Olympe que la tribune de l’ONU pour consacrer la fraternité linguistique et n’est-elle pas la meilleure vitrine pour mieux exprimer aussi bien la diversité, la beauté et la richesse d’un tel legs de nos aïeux, chacun dans son giron respectif ? Tamazight est très présente en Afrique du nord. Les successives vagues d’émigrations vers l’Europe, l’Asie, l’Amérique et jusqu’à la Nouvelle-Calédonie durant un moment de triste mémoire, ont emporté la langue comme une indélébile empreinte d’un attachement et pour conjurer l’arrachement à la terre natale. De nos jours, tamazight est une langue transnationale qui jouit de toute la latitude pour être consacrée comme une langue officielle à l’ONU. Rejoindre de belles et vieilles langues comme le russe, le français, l’anglais, l’arabe, le chinois, l’allemand n’est que justice. Une promotion à l’ONU pour le portugais et tamazight ne seront qu’un épanouissement mérité et une belle récompense pour des langues qui enchantent des millions des personnes, lesquelles expriment un ardent désir de vivre ensemble.

    Il appartient désormais à l’ONU de montrer son soutien aux causes justes, aux langues valeureuses et à la prospérité des civilisations. Quand l’exemple vient d’en haut, il est toujours de bon aloi. 
     

    Cordialement

    Tarik Djerroud (Journaliste et Romancier)

    Lettre de Tarik Djerroud à M. Ban Ki-Moon

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