• Poésie : "Comme un souffle sur ma nuque", le recueil de Sabrina sur les étales

    Poésie : "Comme un souffle sur ma nuque", le recueil de Sabrina sur les étales

     Originaire de Seddouk (Béjaia), Sabrina Challal, étudiante à l’Université de Béjaia nous consacre son premier recueil de poésie dont elle nous emporte dans ses strophes bien arrangées, d’une mélodie émotive.

    Passionnée donc de la littérature, le domaine qu’elle suit actuellement dans ses études de Master, elle nous livre, dans ce bref entretien ses pensées et sa venue au monde de la poésie. 

     

    Liberté d’Expression : Parlez-nous de votre venue au monde de la poésie? Et comment vous est venue l'idée d’éditer ?

    Sabrina Challal :

    Pour moi ce n’était qu’un jeu. J’avais ma façon particulière de déclamer mes poèmes tout comme le faisaient nos mères et grands-mères qui récitaient les leurs dans les champs, à la maison et autres endroits. Sauf que moi j'ai utilisé les moyens de mon temps.

    J'ai publié mes poèmes sur la toile et ça a plu à un éditeur, Lazhari Labter, en l’occurrence. Celui-ci m'a donc proposé de les éditer, voilà. Le recueil est sur le marché, c'est aux lecteurs de juger.

    Voilà pour ce qui est du recueil. Pour la poésie, en général, cela est une autre chose.

    Que voulez-vous dire par cela ?

    C’est une vraie passion. Une façon pour moi d’échapper au monde qui m'entoure. J’adore la beauté que la poésie apporte à la langue française. C’est une façon pour moi de m’adresser aux hommes, mais beaucoup plus aux femmes, et par-dessus tout casser un tabou. La littérature, la poésie; c'est les merveilles de la vie.

    En parlant de difficulté au sein de la société, en avez-vous vécue ?

    Une difficulté particulière, non. Je ne dirai pas ça. Mais, je pense que la vie d’une femme dans « notre société » est déjà une difficulté. On est loin de l'égalité entre femme et homme.

    En tant que nouvelle poétesse, avez-vous eu des conseils d’autres anciens poètes ?

    Oui, et pas que, je suis pluôt bien entourée. De grands hommes de lettre, même ceux restés dans l’ombre m’ont soutenu et conseillé.

    J’en site M. Boualem Messouci, Pierre Daum, Fateh Bourboune, Jamouli Ouzidane, et mon éditeur Lazhari Labter, que je remercie au passage pour leur soutien de près comme de loin. Il y’en a d’autres.

    Et quel est le poète auquel revenez-vous le plus souvent

    J’aime lire Paule Verlaine ! Sa poésie me fascine. 

    La politique sera-t-elle un jour dans vos rimes ?

    Pour le moment, je ne pense pas. Non. Le monde de la politique m’attriste et me dépasse.

    Autres projets ?

    Oui, un autre recueil, et probablement un roman, mais je prendrai mon temps.

    Un dernier mot Sabrina ?

    Merci. Je souhaite prendre votre place un jour (rire). Le métier du journalisme m’intéresse beaucoup. Sinon, j’espère que ce premier recueil sera apprécié du public et touchera la gente féminine. 

     

    Entretien réalisé par M.O.

    Poésie : "Comme un souffle sur ma nuque", le recueil de Sabrina sur les étales

    « Les tueurs de Hervé Gourdel identifiés !Arêt sur image ! Sacrifice ou stage d'initiation ? »
    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

  • Commentaires

    1
    Samedi 11 Octobre 2014 à 20:20

    continuez c'est encourageant 

    • Nom / Pseudo :

      E-mail (facultatif) :

      Site Web (facultatif) :

      Commentaire :


    2
    Samedi 11 Octobre 2014 à 20:21

    continuez c'est encourageant 

    Suivre le flux RSS des commentaires


    Ajouter un commentaire

    Nom / Pseudo :

    E-mail (facultatif) :

    Site Web (facultatif) :

    Commentaire :