-
Par lib le 15 Avril 2016 à 12:20
Le président de la République Algérienne, Abdelaziz Bouteflika longtemps appelé "Tab Jnanou" par les médias en général et les algériens en particulier du fait qu'il est resté 20 ans au pouvoir, aurait récemment déclaré qu'il n'a en aucun cas souhaité briguer un 4e mandat.
"Je veux mourir en paix, chez moi", aurait t-il avoué devant le premier ministre français Manuel Valls, en visite en Algérie après avoir bénéficié d'un visa.
Bouteflika a parlé à voix très basse avant de céder à sa maladie qui le manipule pour ne laisser qu'un regard inquiétant et une bouche entrouverte en signe d'un malaise profond. Le monde entier a vu, lu et su ce qui se passe au sommet de son palais.
En effet, ce qu'a déclaré le président Bouteflika a été censuré par tous les moyens. Mais, nous les algériens et algériennes, on se comprend de vue. Un simple regard nous suffit pour comprendre et analyser l'état psychologique et critique de notre président. Il souffre mais il n'a ni les moyens ni les capacités pour l'exprimer à voix haute. Il ne peut même pas quitter son fauteuil roulant. On l'a censuré aussi, lui qui a tant censuré les autres.
Abdelmalek Sellal, qui est lui aussi surnommé "Sellal Sallalil" pour le fait qu'il a prononcé le mot "fakakir" en langue arabe pour dire "foukara" qui désigne le pluriel de "fakir" (pauvre), -erreur impardonnable qui est passée inaperçu-, a en effet tout organisé à l'aide de son camarade de loin Said Bouteflika, frère cadi du Président.
O.M.
votre commentaire -
Par lib le 1 Mars 2014 à 01:28
Manifestations contre le 4ème mandat
Plusieurs manifestations contre le 4e mandat du Président Bouteflika sont attendues, demain matin, dans plusieurs villes d'Algérie et de France aussi. A Alger, Béjaia, Tizi Ouezou, Paris, Marseille et d'autres. Les initiataires, jeunes et adultes, marcheront donc pacifiquement pour dire "NON" à Bouteflika.
Abdelaziz Bouteflika a été traité de tous les mots et toutes les expressions du siècle. Le plus entendu dans presque tous les médias et les réseaux sociaux "handicapé-moteur". Hospitalisé plusieurs fois, Bouteflika ne semble plus être capable de gérer un pays qui a tant besoin de doubler d'efforts pour stabiliser à la fois sa situation économique et politique. Le peuple Algérien rejette l'idée que Bouteflika se présente aux élections présidentielle du 17 avril 2014, après ses séjours hospitaliers à Val De Grace (Paris).
De son coté le pouvoir, par le biais du premier ministre M. Sellal, rejette l'opinion publique et confirme à 100% que Bouteflika est en bon état de santé et capable de gérer.
Il importe de poser la question donc si l'hospitalisation de Bouteflika est du "cinéma" comme le qualifie M. Mohamed Mechati, un ancien membre des 22 et également de l'organisation spéciale (OS), qui a tenu à exprimer sans ras-le-bol, hier, sur El Watan. Celui-ci n'a pas hésité de traiter le pouvoir Algérien et ses décideurs de "bandit et de voyou" dont le président Bouteflika. Il déclare que Boutefilka n'est qu'un "manœuvrier" et "tout ce qu'il fait ne devrait pas être pris au sérieux".
Djamila Bouhired dira non aussi :
Chose promise, chose due. Djamila Bouhired compte descendre dans la rue pour manifester contre le 4e mandat successif" a t-elle confié.
votre commentaire
Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique