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Dernière: Bouteflika "Je veux mourir en paix !"
Le président de la République Algérienne, Abdelaziz Bouteflika longtemps appelé "Tab Jnanou" par les médias en général et les algériens en particulier du fait qu'il est resté 20 ans au pouvoir, aurait récemment déclaré qu'il n'a en aucun cas souhaité briguer un 4e mandat.
"Je veux mourir en paix, chez moi", aurait t-il avoué devant le premier ministre français Manuel Valls, en visite en Algérie après avoir bénéficié d'un visa.
Bouteflika a parlé à voix très basse avant de céder à sa maladie qui le manipule pour ne laisser qu'un regard inquiétant et une bouche entrouverte en signe d'un malaise profond. Le monde entier a vu, lu et su ce qui se passe au sommet de son palais.
En effet, ce qu'a déclaré le président Bouteflika a été censuré par tous les moyens. Mais, nous les algériens et algériennes, on se comprend de vue. Un simple regard nous suffit pour comprendre et analyser l'état psychologique et critique de notre président. Il souffre mais il n'a ni les moyens ni les capacités pour l'exprimer à voix haute. Il ne peut même pas quitter son fauteuil roulant. On l'a censuré aussi, lui qui a tant censuré les autres.
Abdelmalek Sellal, qui est lui aussi surnommé "Sellal Sallalil" pour le fait qu'il a prononcé le mot "fakakir" en langue arabe pour dire "foukara" qui désigne le pluriel de "fakir" (pauvre), -erreur impardonnable qui est passée inaperçu-, a en effet tout organisé à l'aide de son camarade de loin Said Bouteflika, frère cadi du Président.
O.M.
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