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La marche du livre d'Aokas : une gifle pour la cheffe de la Daira ?
La plus belle manifestation culturelle de la rue qui n'a jamais été initiée auparavant est celle d'Aokas, 25 km du chef lieu de la wilaya de Bejaia, menée en ce 29 juillet.
Bon, il y a problème, une situation qui dégénère : l'interdiction des conférences organisées par le café littéraire d'Aokas. Oui, ça dégénère, vraiment. Pas seulement, ils ont été tabassé pour avoir réclamé l'ouverture du centre culturel, ils ont été opprimé et non primé.
Parlant, Ghilas Ainouche est un exemple vivant. "Primé aux États-Unis, il a été matraqué par la police en Algérie. Il n'est ni terroriste ni un malfaiteur". C'est un chroniqueur qui vient de voir le monde. À t'il mis le pays en faillite ? Non ! Il a peut être montré qu'il l'a été, qu'il est et qu'il le sera. Et c'est une chose connue.
Chawki Amari, le chroniquer que le monde a connu, a voulu répondre. Ces chroniques ont visé la cheffe de Daira d'Aokas. Celle-ci étant «illettrée», l'homme du point zéro a tenu, après la marche du livre, sa conférence au centre culturel d'Aokas, fermé quelques jours avant. Quel drame, et quelle hogra !
D'autres journalistes et écrivains sont venu soutenir le café littéraire. Des citoyens aussi, et mêmes d'autres organismes et d'autres cafés littéraires des autres régions., et des messages de soutien de l'international.
Ils ont marché le livre à la main. Leur but était de défendre la culture. Une guerre silencieuse qui a vibré le monde entier. Une affaire à laquelle n'a pas pu répondre la chef de Daira ni même le wali, absent.
Aokas va continuer ses activités culturelles. Elles a déjà un programme sûrement. Les intellectuels étaient présents, ont soutenu et ont partagé la souffrance des initiateurs.
M. O.
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